CETTE ENGEANCE-LA EST SA PROPRE LOI !

« La femme ou l’homme qui par trop de méchanceté est devenu une calamité, un « coronavirus » pour les autres, ne craindra que votre courage à l’affronter ; il ne tremblera que devant la détermination d’un groupe soudé jusqu’à la mort à le combattre à tous prix, porté par l’intelligence, la sagesse et la force. C’est le seul langage, hélas, que comprend cette race-là ! C’est le seul que respecte et redoute cette espèce-là chez ceux qu’il étouffe jusqu’à l’agonie, les uns après les autres dans un silence bruyant qui échappe à l’indifférent comme à l’inconscient…

En dehors de ça, cette engeance-là ne recule ni devant Dieu, ni devant les traditions des hommes : car elle est sa propre loi.

Cet homme-là, cette femme-là, raison ne retrouvera que par la coercition. Et cet homme-là, cette femme-là appelle d’abord nos prières pour sa neutralisation à tout prix…

Car il est juste d’opposer la force à celui que ni la raison, ni la foi et la vertu n’ont soumis…

Car il est plus que juste de défendre le bien de tous de la folie meurtrière d’un individu ou d’un groupe d’intérêt égoïste…

Jamais la prière ne doit conduire à laisser le méchant prospérer sans le combattre avec ferveur ; car la prière authentique, entre autres, arme l’esprit et l’âme du croyant contre le mal. La prière véritable donne un surcroît de cœur et de conscience. Elle dépose en l’âme les armes invincibles de la justice et de la vérité, de la bonté et de l’amour ; elle affine le sens du bien et renforce l’engagement contre tout mal. C’est pourquoi la prière produit des hommes d’action, jusqu’au martyre d’amour ou de sang ; elle façonne des cœurs mâles, même pour les femmes…

Car, on ne peut servir le Dieu d’Amour sans être ses bras contre le Mal et le méchant ; on ne peut servir le Dieu-Vivant sans s’engager contre ceux qui piétinent la vie comme en jouant ; on ne peut servir le Dieu de Sainteté sans s’opposer aux partisans du mensonge d’un monde sans valeurs…

Donc, à chacun, en conscience, de lutter contre le mal ; à chacun d’avoir le courage de la lutte contre le mal ; à chacun de payer un tribut à la victoire du bien, d’abord en soi-même comme autour de soi. C’est un devoir sacré ; c’est un devoir qu’on ne fuit qu’en se déshumanisant, peu ou prou mais toujours…

Malheur aux lâches, ils mèneront une vie d’esclave sans chaines visibles. Malheur aux esclaves de maison, ils seront la honte de leur descendance. Malheur aux courageux sans plans… Ils subiront le courroux du méchant.

L’indignation ne suffit pas à une lutte ; l’émotion n’est féconde que si elle apporte son énergie à une action organisée ; son souffle puissant n’est utile qu’au service d’un engagement authentiquement réfléchi…

Alors que fais-tu de ton indignation ? Qu’as-tu prévu afin d’imposer l’ordre et la vertu à ta vie, chez les tiens et dans ton pays ? N’attends pas que cela vienne d’autrui ! Qui sait ? Peut-être es-tu le petit David appelé à terrasser Goliath ! Mais pour cela, commence par te vaincre et fais de ton lieu de vie ton champ d’entrainement à combattre le mal. Fais ton plan d’action, à ton échelle ; et, chacun faisant le sien, les petits ruisseaux faisant les grands fleuves, les efforts de tous accoucheront d’un monde meilleur, d’un pays autre. Peut-on compter sur toi pour cela ? En es-tu sûr ?

                                                                                                                                       PAUL-MARIE MBA (CB)

Sois La Mauvaise Conscience du Menteur Nos sociétés ont besoin d'anticorps

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